Aux portes du crépuscule
l’instant bascule_la nuit avance, le ciel retient sa flamme.
lumière d’automne
un éclat paisible traverse le vent froid_l’or des arbres murmure la fin du jour
Eclat de coquelicots
dans la brûlure du couchant, les pétales s’embrasent, défiant la nuit qui approche
Les coquelicots bleus
sur un océan de bleu profond, les fleurs se dressent comme des flammes légères offertes au vent
Sous l’arbre d’été
seul sur la colline, l’arbre veille dans la chaleur d’or, gardien silencieux des chemins oubliés
Souffle vert
la vallée respire sous la lumière, laissant aux fleurs le soin de parsemer l’air d’un parfum d’été
Clairière en fête
la lumière s’ouvre au coeur des bois et les fleurs se redressent
incandescence
quand le monde tout entier semble s’embraser pour un dernier souffle de lumière
Clairière dorée
un visage baigné de lumière, comme une clairière où rayonne l’or secret de l’âme