Eclat de coquelicots
dans la brûlure du couchant, les pétales s’embrasent, défiant la nuit qui approche
Les coqulicots bleus
sur un océan de bleu profond, les fleurs se dressent comme des flammes légères offertes au vent
Sous l’arbre d’été
seul sur la colline, l’arbre veille dans la chaleur d’or, gardien silencieux des chemins oubliés
Souffle vert
la vallée respire sous la lumière, laissant aux fleurs le soin de parsemer l’air d’un parfum d’été
Champs écarlate
sous le ciel clair, les coquelicots se lèvent en foule.
Clairière en fête
la lumière s’ouvre au coeur des bois et les fleurs se redressent
Clairière dorée
un visage baigné de lumière, comme une clairière où rayonne l’or secret de l’âme
Eclat secret
un regard voilé de silence, habité par la force douce d’un éclat insaisissable
Au milieu du champs
la lumière glisse sur les herbes hautes, embrasant le champs d’un or tendre avant que le jour s’éteigne
Murmure du soir
à l’heure où le jour s’efface, l’eau retient la mémoire du ciel et chuchote aux rives ses secrets brûlants
Eveil azuré
dans la pâleur du matin, les fleurs s’inclinent dans le silence bleu d’une aube naissante